Pour oulipoliser, en observant l’éthique,
j’essaie de bidouiller un outil robotique,
sans excessivement me prendre le citron.
Plutôt qu'un machin-chose,
quoi de plus classieux qu'un oulipolitron ?
Il pondra sur demande une ode hyperbolique
ou, pour les libertins, une pièce érotique
aux fins d'émoustiller l’oie blanche ou le mitron.
Ce nouveau machin-chose,
aux cœurs en mal d’amour, fera rimer « je n’ose »
avec un joli mot qui ne soit pas morose,
comme il est coutumier aux enfants d’Apollon.
Prévu pour en user au son du violon,
je n'serais pas surpris que très vite il s'impose.