Qu’est devenu ce fier valseur*
au très joli manche écrevisse,
idoine à la main de ma sœur,
toujours prêt à rendre service ?
Il croupit au fond d’un tiroir
comme un quelconque vistemboir :
sa tige n’est plus dans la norme.
Il aimerait tant revisser,
mais il peut toujours se brosser :
ya plus que des vis cruciformes.
Ce mirliton pour un valseur
n’y voyez pas le moindre vice,
il fallait que je l’écrivisse.
*tournevis